Louis Vuitton x Art Basel Paris : une scénographie unique et une nouvelle collection « Artycapucines » créées par Takashi Murakami

par | 21 Oct 2025 | ART & CULTURE, NEWS

 

 

 

Partenaire associé d’Art Basel Paris 2025 pour la troisième année consécutive, Louis Vuitton a le plaisir de dévoiler la collection Artycapucines VII – Louis Vuitton × Takashi Murakami, plus de vingt ans après la première collection qui a allié l’univers fantaisiste de l’artiste japonais aux savoir-faire d’exception de la Maison. Pour l’occasion, Takashi Murakami a imaginé une scénographie qui sera présentée sur le majestueux Balcon d’Honneur du Grand Palais.

Point culminant de cette édition d’Art Basel Paris, une sculpture de huit mètres de haut représentant une pieuvre, inspirée des lanternes chinoises, entrelacera le stand de ses tentacules. Au seuil de cette arche tentaculaire, des esquisses exclusives de la scénographie signées par l’artiste accompagneront l’entrée des visiteurs dans le monde foisonnant de Takashi Murakami.

Cette pieuvre monumentale a été conçue sur mesure pour l’espace d’exposition, également recouvert pour l’occasion d’un sol aux motifs inspirés des tentacules. La tête de la créature luminescente rappellera en grandes dimensions le motif Jellyfish Eyes apparu dans le langage visuel de Murakami dès 2001. Puisant dans l’enfance de l’artiste, ce motif évoque la peur d’être observé, tout en lui donnant une forme fantaisiste qui atténue son caractère effrayant. Le motif du Kraken, quant à lui, est cher à Murakami depuis la création de la toile The Octopus Eats Its Own Leg (2017), inspirée des mythes de disparition et d’engloutissement, mais transfigurant toujours ces peurs universelles sous des formes ludiques, presque joyeuses.

Au cœur de ses tentacules seront dévoilées les onze créations de la collection Artycapucines VII – Louis Vuitton × Takashi Murakami, conçues en écho à sa galerie de personnages et de motifs signatures, de Mr. DOB au Superflat Panda, en passant par les iconiques Smiling Flowers. La collection se déploiera autour de trois Plush Balls, œuvres sphériques dont le concept est développé par Murakami depuis 1995. Originellement inspirées de l’effet de trompe-l’œil dans la lithographie Autoportrait au miroir sphérique (1935) de Maurits Cornelis Escher, les Plush Balls sont des sculptures en peluches tridimensionnelles qui nous propulsent dans une vision kaléidoscopique.

Autour de la plus volumineuse, la Multicolor Plush Ball (2008), sont exposés les sacs Capubloom et Capucines East West Rainbow, qui réinterprètent avec virtuosité le motif multicolore des Smiling Flowers. Murakami a imaginé pour cette présentation à Art Basel Paris la Cherry Blossom Plush Ball (2025) selon le même principe de répétition de motifs floraux sous forme de sphère, mais cette fois autour de la fleur Sakura, le mythique cerisier japonais. Autour de cette œuvre inédite, on pourra retrouver trois versions du sac iconique de la Maison : le Capucines BB Golden Garden, le Capusplit BB et le Capucines Mini Autograph. Le Panda Clutch, entièrement serti de strass et inspiré du personnage du Panda cher à Murakami, complète cette première mise en scène. À l’avant de l’installation, la pieuvre lanterne pointera l’une de ses tentacules vers la Plum Plush Ball (2025), également créée spécifiquement pour l’occasion. À sa gauche, les pièces Capucines Mini Tentacle et Capucines MM Eye déclinent en miniature les traits de la pieuvre centrale, de ses tentacules jusqu’aux Jellyfish Eyes. À droite, on retrouvera les sacs Capucines XXL Camo et Capucines East West Dragon, qui reprennent respectivement les motifs TIME (2009) et le spectaculaire tableau Dragon in Clouds Indigo Blue (2010) de l’artiste. Enfin, le Capucines Mini Mushroom transpose en véritable chef-d’œuvre de maroquinerie la vision d’une forêt psychédélique au moyen d’une centaine de personnages-champignons confectionnés par impression 3D et méticuleusement brodés à la main sur la structure du sac. Ces onze créations permettent ainsi de réexplorer l’esthétique foisonnante de Takashi Murakami, sublimée par l’excellence technique de la Maison.

Avec cette présentation, Louis Vuitton renouvelle son engagement envers la création contemporaine. Ce lien étroit s’est noué il y a près d’un siècle, lorsque le petit-fils du fondateur, Gaston-Louis Vuitton, a entrepris de solliciter des artistes pour concevoir des vitrines, publicités et objets pour la Maison. Depuis 1988, Louis Vuitton n’a de cesse de perpétuer cet héritage en collaborant avec des artistes et designers de renommée internationale. La Maison met à leur disposition les savoir-faire et le sens de l’innovation qu’elle porte depuis sa création, bien au-delà de son expertise inimitable dans le travail du cuir, par exemple dans le domaine de l’impression 3D, comme en témoignent certaines pièces de la collection Louis Vuitton x Murakami 2025.

 

 

 

 

 

 

 

La collection Artycapucines VII – Louis Vuitton x Takashi Murakami présentée à Art Basel Paris vient comme un point d’orgue mettre à l’honneur la collaboration artistique foisonnante entre l’iconique artiste japonais et la Maison entamée dès 2003, notamment après la présentation d’une sculpture monumentale intitulée The Flower and the Child dans le Jardin d’Acclimatation fin 2024 et plusieurs rééditions de pièces emblématiques au cours de l’année 2025.

Depuis les années 1990, Takashi Murakami est internationalement salué pour sa manière unique d’associer l’art japonais traditionnel, l’univers de l’animé japonais, de la science-fiction et de la pop culture.

Né en 1960 et formé à l’École des Beaux-Arts de Tokyo, l’artiste a su puiser dans la tradition picturale du nihonga tout en inventant un langage visuel inédit, foisonnant de couleurs et de motifs récurrents – fleurs souriantes, champignons ou yeux – devenus emblématiques de l’esthétique kawai dont il est l’un des plus éminents ambassadeurs. Murakami a ainsi travaillé à abolir les frontières entre l’art et l’art dit populaire,  entre art japonais et art occidental, en les fusionnant librement dans son imaginaire débridé.

Cette audace esthétique lui a valu d’être exposé dans les plus grandes institutions au monde, du Museum of Contemporary Art de Los Angeles au Musée Guggenheim Bilbao, et intégré dans les collections muséales les plus prestigieuses, telles celles du Museum of Modern Art (New York) et du Centre Pompidou (Paris).

En 2003, il a été le premier artiste invité à réinterpréter la célèbre toile Monogram de la Maison, qu’il a déclinée en trente-trois couleurs, ou en lui superposant ses motifs signatures, du panda à la fleur de cerisier sakura. Nombre de ses œuvres majeures appartenant à la Collection ont également été présentées à la Fondation Louis Vuitton (Kaikai Kiki [2005], The Octopus Eats Its Own Leg [2017] entre autres), que cette exposition à Art Basel Paris 2025 ne manquera pas de rappeler.

D’autres grands noms comme Sol LeWitt, James Rosenquist, Richard Prince, César ou Yayoi Kusama comptent parmi les collaborations de prestige de la Maison. Depuis 2014, la Fondation Louis Vuitton, joyau d’architecture contemporaine signé par Frank Gehry, s’est imposée comme plateforme de transmission de ces dialogues artistiques qui sont au cœur des engagements de Louis Vuitton. Un vaste réseau de lieux  d’exposition à travers le monde, les Espaces Louis Vuitton (Tokyo, Munich, Venise, Pékin, Séoul et Osaka), permet également de diffuser ce parti pris.

 

 

 

 

 

 

 

 

La collection Artycapucines VII – Louis Vuitton × Takashi Murakami dévoile la vision unique du célèbre artiste japonais à travers onze interprétations des emblématiques sacs Capucines et autres pièces de collection.

Depuis la première collection Artycapucines en 2019, le sac Capucines rend hommage à la rue Neuve-des-Capucines, à Paris, où Louis Vuitton a inauguré son premier magasin en 1854. Il offre aux artistes contemporains une toile vierge idéale pour déployer leur créativité. Trente artistes s’en sont déjà emparé pour composer des sacs Artycapucines exclusifs, en éditions très limitées. Aujourd’hui, le septième chapitre de cette collection confirme le statut emblématique de ce sac, véritable invitation à donner libre cours à son imagination. Ces onze pièces inédites, toutes réinterprétées par l’artiste japonais Takashi Murakami, figure incontournable de l’art contemporain soulignent le talent unique de cette collection : allier le génie inventif des artistes au savoir-faire exceptionnel des artisans de la Maison.

En collaboration avec Louis Vuitton, Murakami réinterprète le sac Capucines, voire dans certains cas, en modifie entièrement les proportions et la structure pour le hisser au rang de sublimes œuvres d’art. Ponctuée de références à l’imaginaire débridé de l’artiste, motifs et personnages emblématiques tels que le « Monogram Coloré » en 33 couleurs, la fleur souriante, le panda ou encore le champignon, la collection prend vie en s’appuyant sur les codes et les signatures de la Maison, alliant artisanat traditionnel et innovation.

Parmi les pièces phares de cette collection de onze modèles figurent le Capucines EW Rainbow à l’esthétique kaléidoscopique, qui revisite la structure et les dimensions du sac Capucines classique pour épouser la forme du célèbre motif « Rainbow Flower » de Murakami ; le Capucines Mini Mushroom, chef-d’œuvre psychédélique composé d’une centaine de personnages champignons fantastiques imaginés par l’artiste, polis et brodés à la main sur la toile en miroir argenté du sac ; le stupéfiant Capucines Mini Tentacle inspiré d’une sculpture de Murakami, transformant en pieuvre facétieuse le célèbre alter ego de l’artiste, Mr. DOB ; le splendide Capucines EW Dragon, restructuration sans précédent du sac d’origine selon un savoir-faire extraordinaire pour reproduire fidèlement l’une des œuvres les plus monumentales de Takashi Murakami, le tableau de 18 mètres de long Dragon in Clouds Indigo Blue (2011) ; le Capucines BB Golden Garden auréolé de grâce, summum de sophistication, fruit du savoir-faire inégalé de la Maison en marqueterie de cuir, et dont le corps principal en cuir est recouvert de feuille d’or; et enfin, la remarquable pochette Panda Clutch, chef-d’œuvre sculptural, conçue en laiton argenté brillant et ornée de 6 300 strass posés à la main.

À ce jour, la collection Artycapucines compte plus d’une trentaine de modèles conçus par de célèbres artistes du monde entier, dont Beatriz Milhazes, Ugo Rondinone, Zhao Zhao, Daniel Buren, Vik Muniz, Henry Taylor, Paola Pivi, Urs Fischer, Alex Israel, Park Se-Beo ou encore Tschabalala Self. Chacun de ces sacs extraordinaires est une preuve supplémentaire de l’esprit d’innovation et de l’expertise artisanale que la Maison met au service des artistes et de leur créativité depuis plus d’un siècle. Le petit-fils de Louis Vuitton, Gaston-Louis, est le premier à avoir confié des commandes à des artistes dès les années 1920. À ce premier élan ont succédé de nombreuses collaborations avec des légendes telles que Sol LeWitt, Yayoi Kusama et Richard Prince, ainsi que l’ouverture de la Fondation Louis Vuitton en 2014, conçue par Frank Gehry. La collection Artycapucines représente la quintessence de cette volonté de défendre la créativité artistique, le savoir-faire et l’expertise artisanale, tout en faisant du Capucines l’expression absolue de la féminité et l’incarnation parfaite de la femme Louis Vuitton.

 

 

Tous les sacs de la collection Artycapucines VII – Louis Vuitton × Takashi Murakami seront proposés en éditions très limitées et dévoilés le 22 octobre à l’Art Basel Paris, puis disponibles sur réservation.