Une campagne empreinte d’audace et de liberté réalisée par Eva Vik et photographiée par Julien Vallon.
Manifesto de marque
Liberté de créer. Liberté de porter.
dinh van s’émancipe des codes.
Ici, le bijou ne suit pas la tendance. Il la transcende. Dans ce qu’il a de plus pur, de plus juste.
Le savoir-faire du joaillier. L’œil du designer.
La main du sculpteur.
Une précision instinctive, gravée dans la matière.
Chaque pièce est un objet pensé. Sculptée pour ne garder que l’essentiel. Un tracé net. Une intention radicale.
Le design comme seule évidence.
Les Menottes. Le Pavé. La Serrure.
Des signatures. Des libertés.
Celle de refuser l’ornement pour le sens. Celle d’affirmer son style sans ostentation. Celle de faire du bijou un geste, pas une démonstration.
dinh van ne suit pas.
Il soustrait. Il épure. Il impose. Un artisanat du design.
Une joaillerie sans compromis.
Pensé pour durer. Créé pour exister. Porté pour vivre.
Parce que la joaillerie ne se crie pas.
Elle se vit. Avec évidence
La liberté comme seule signature.
Elle ne joue pas un rôle.
Elle est simplement elle-même.
Actrice à la présence magnétique, muse moderne au charme singulier, Aimee Lou Wood impose sa voix, son style, son rythme.
Elle est cette femme d’aujourd’hui, insaisissable, authentique, résolument libre.
Elle incarne une nouvelle génération de femmes : fortes, libres, sincères.
Son authenticité résonne avec la simplicité du geste, l’épure des formes et l’art de l’essentiel de l’ADN dinh van.
C’est l’union du savoir-faire du joaillier, de l’œil du designer, de la main du sculpteur. Un bijou pensé pour vivre, pour accompagner chaque geste.
Ensemble, dinh van et Aimee Lou Wood célèbrent une joaillerie libre, contemporaine, sincère.
Un monde onirique signé dinh van
À la croisée du rêve et du design, Aimée bascule comme une Alice moderne dans un univers dinhvanien où les bijoux se transforment en décors, en sculptures gigantesques, en passages initiatiques. Les créations emblématiques de la Maison deviennent architectures grandeur nature — une serrure se fait seuil à franchir, un pavé qui prend vie ou une version miniature d’Aimee.
À mesure qu’elle les porte, chaque bijou révèle une nouvelle dimension: radicale, lumineuse, affranchie.
Dans ce monde aux lignes épurées et aux contrastes assumés, la joaillerie devient langage de liberté.
Dans Alice au pays des merveilles, l’héroïne tombe dans un monde surréaliste, foisonnant, illogique.
Chez dinh van, Aimee « bascule » aussi, mais dans un univers onirique graphique, épuré, structuré : un Wonderland en version minimaliste.
Inspirée de l’opéra Carmen de Georges Bizet, un cri d’amour et de liberté, qui enflamme les âmes rebelles.
Aucune loi : une pulsation, née pour celles et ceux qui rêvent hors des cadres.

