Paysages rêvés, faune et flore merveilleuses, échappée bucolique…
Les vitrines du 30 Montaigne – qui fête ce printemps le premier anniversaire de sa réinvention – accueillent un décor féerique conçu à partir de chutes de tissus, de matières et d’ornements upcyclés, issus des ateliers et rendant hommage à leurs savoir-faire d’exception.
L’alliance vertueuse et virtuose de nombreux corps de métiers a permis de créer à la main – avec une infinie inventivité et un art du détail repoussant les limites de l’excellence – ces visions enchanteresses célébrant les collections féminine et masculine – ainsi que les créations joaillières –, odes à la beauté de la Nature chère à Monsieur Dior.
Parmi ces créatures peuplant un été éternel, un flamboyant oiseau de paradis côtoie des abeilles, des papillons, des hiboux et d’autres animaux fantastiques, réalisés avec des objets recyclés et de la toile Dior Oblique n’ayant pu être utilisés par les artisans de la Maison. Ici, la boucle signature du D de Dior – qui pare habituellement le sac Saddle – forme le bec d’un volatile imaginaire ; là, un charm’s du Lady Dior devient l’attribut d’une autre chimère onirique.
Une invitation à l’évasion poétique et une véritable chasse au(x) trésor(s) incitant malicieusement les visiteurs à retrouver les éléments iconiques des emblèmes Dior. À découvrir jusqu’à début mai.