La Maison est heureuse d’annoncer l’ouverture de House of Dior Beverly Hills sur la légendaire avenue Rodeo Drive.
Témoignant des nombreuses affinités qui unissent Dior à la Californie, ce nouveau flagship célèbre l’histoire de la Maison et sa relation privilégiée avec Hollywood. Cet écrin a été pensé comme un éden, chaque espace puisant ses inspirations dans le monde végétal et floral cher à Christian Dior.Imaginé par l’architecte Peter Marino, ce « royaume des rêves » – sous la forme d’un édifice inédit pour la maison Dior – impulse ainsi un dialogue entre architecture, nature et couture, déployé sur quatre niveaux. Derrière la façade ondoyante en pierre à chaux et en stuc se dévoile une atmosphère raffinée et feutrée.
Un majestueux escalier central s’élève au cœur d’un jardin luxuriant – conçu par Peter Marino et réalisé par le paysagiste Peter Wirtz – s’épanouissant sur trois étages.Baigné de lumière et subtilement magnifié des codes Dior, l’intérieur présente une alchimie unique entre héritage et créativité où les collections sont mises en scène – du prêt-à-porter féminin et masculin à la maroquinerie, de la joaillerie et des créations Dior Maison jusqu’aux parfums.
Ces univers s’enrichissent de pièces exclusives en édition limitée, produites spécialement pour cette boutique hors normes tandis que la présence organique des plantes ponctue continuellement le parcours des visiteurs.En écho aux amitiés sincères que Christian Dior entretenait avec les artistes de son temps, cette adresse accueille également une sélection d’œuvres d’art remarquables, choisies par Peter Marino et Dior. Parmi elles figurent, celles de Karine Laval, Adam McEwen, Florian & Michael Quistrebert, Jorge Galindo, Adam Fuss, et une peinture vibrante commandée à John McAllister, ainsi que du mobilier de Franck Evennou, Ado Chale et Vladimir Kagan, mais aussi des panels en métal doré et laqué réalisés sur mesure par Nancy Lorenz.
Prolongeant cet enchantement, le troisième niveau abrite Monsieur Dior, le tout premier restaurant de la Maison en dehors de Paris. Élaborée par la Cheffe Dominique Crenn, triplement étoilée au Guide Michelin, la carte s’imprègne de l’élégance intemporelle des looks et des archives Dior ainsi que des liens éternels que Dior n’a cessé de déployer avec Hollywood.Dès l’entrée du restaurant, les convives découvrent une grande photographie du château de la Colle Noire – havre de paix provençal où le couturier-fondateur venait se ressourcer entre deux défilés. Revêtu notamment d’un mur végétal et orné d’une peinture de Nicole Wittenberg, ce lieu unique, faisant rayonner la gastronomie et l’art de recevoir à la française, invite à une expérience sensorielle où les rêves prennent vie.
Au dernier étage, les salons VIP évoquent l’intimité du 30 Montaigne, tandis qu’une terrasse privée verdoyante offre une vue imprenable sur Beverly Hills.Ultime surprise, les vitrines se parent de saynètes miniatures, telles des séquences de film, capturant l’éclat des tapis rouges et la féerie de l’odyssée Dior sur le continent américain.

