DIOR – L’OR DE J’ADORE

par | Aug 17, 2023 | BEAUTÉ, NEWS

Dior est un territoire qui s’apprivoise, un héritage qu’on embrasse.

Comme toutes celles et ceux qui avant lui ont revisité le galbe d’un tailleur Bar ou réinventé un sillage de légende, Francis Kurkdjian plonge à son tour dans l’âme Dior. J’adore s’impose à lui.

Il se confronte à l’icône, aux fleurs d’un sillage qui symbolise à lui seul le luxe, la féminité triomphante et l’âme pionnière de Dior.
Une entrée en matière sous le signe d’un renouveau sensuel qu’il mène avec humilité et audace, détermination et vision, guidé par les mots de Christian Dior: «respecter la tradition et oser l’insolence».
J’adore se fait le rendez-vous privilégié d’un parfumeur réputé pour ses créations étonnantes de beauté ciselée avec un parfum-totem devenu grand classique.

L’occasion pour lui d’y laisser son empreinte et son style singulier, plébiscité pour son épure puissante éminemment contemporaine.
Il choisit d’aller au cœur même du bouquet floral de J’adore, à l’essentiel de sa formule si complexe. Il y insuffle sa sensibilité conceptuelle grâce à un parti-pris olfactif radical : il taille dans la profusion florale, dessine une silhouette qui tend vers un minimalisme radical, une sensualité organique et une concentration inédite. Comme on fond l’or pour n’en garder que l’essentiel et le plus pur, il isole des fleurs, force leur trait. Une épure qui devient sa nouvelle signature.

Pour que J’adore l’Or devienne un Or de J’adore plein de sens et de profondeur. Un plaisir olfactif immédiat, brillant et rond, sensuel et suave.

Pour J’adore, Francis Kurkdjian s’est fait chercheur d’or.

 

 

 

DE J’ADORE L’OR À L’OR DE J’ADORE

Francis Kurkdjian pose un nouveau regard sur J’adore, en cherchant son expression la plus essentielle, avec pour but ultime d’obtenir un corps pur : une quintessence.
Il plonge ainsi à la genèse même de l’écriture du bouquet mythique où les fleurs dialoguent entre elles sans qu’aucune ne s’impose.

Il questionne cet équilibre d’où émane une impression florale majestueuse et abstraite. Car J’adore ne sent pas toutes les fleurs, il est la sensation même d’une fleur unique, symbolique et symbiotique. L’incarnation parfaite et universelle de la floralité.
Une fleur idéale, qui n’existe pas, mais qui incarne à elle seule l’esprit Dior.

Inspiré par ce mystère luxuriant, il choisit de réinterpréter son allure, de bousculer ses proportions afin d’éclairer sa beauté sous un jour nouveau.

Son J’adore a les reflets moirés d’un liquide précieux.
Un bain d’or des origines dans lequel on plonge avec volupté et adoration…

 

DES FLEURS EN MODE MAJEUR

La vision précisée, l’allure nouvelle s’affirme.
Francis Kurkdjian s’empare du bouquet floral en deux étapes : il épure la formule pour mieux la discerner puis glorifier les fleurs qu’il joue en mode majeur.
Epurer pour magnifier.

L’Or de J’adore opère sa métamorphose en exaltant une floralité « géante », littéralement extra-ordinaire. Le bouquet est renouvelé, modernisé, porté par des fleurs, maximisées, overdosées avec maîtrise.
En passant de la myriade à l’épure, Francis Kurkdjian opère une transformation radicale, comme s’il passait du pointillisme à l’art contemporain.

Le jasmin et la rose sont extrapolés, à la fois ronds et saillants. Le muguet et la violette exultent, éclairés.
La floralité du nouveau bouquet est immédiate, et directe. Travelling avant, zoom.

Leur beauté s’affiche en grand, surgit sur l’écran.

 

UN OR SUAVE ET HAUTEMENT CONCENTRÉ

Comme un or chaud qui ruisselle sur la peau.
Un liquide fluide et suave, strié de reflets dorés.
Sensation douce d’un doigt qu’on pose sur l’ourlet d’un pétale velouté. D’une épaule ronde offerte à un soleil généreux.

L’Or de J’adore imaginé par Francis Kurkdjian est un plaisir sensuel, sensoriel et fulgurant.
Composition à la fois complexe, limpide et immédiate, elle dévoile son bouquet comme un jaillissement sans ambages.
Pas de détours ni de bruits de fond, tout est dit d’emblée avec amour, sincérité et majesté. C’est un nouveau J’adore qui touche au cœur, emporte les sens.

Directement dans le vif du sujet, il met en scène ses fleurs arrondies, hissées vers une plénitude que l’on voudrait toucher. On est à la lisière de la gourmandise, plongé dans la suavité d’un plaisir intense qui sait garder ses accents de noblesse.
Comme une caresse pétalée, charnue et charnelle, rien n’est saillant dans ces accords magiques, les fleurs sont fluides et liées. L’effet est là, palpable, mêlé de douceur et de sensualité chauffée aux rayons d’un soleil tamisé.

L’Or de J’adore offre sa concentration spectaculaire, sa rondeur radieuse et laisse un sillage ample et noble.

« Christian Dior disait que ses mannequins étaient toutes les femmes du monde… Grâce à la magie et à la puissance intactes de J’adore, j’ai osé me dire que je m’emparais à mon tour de toutes les fleurs du monde. Avec toute l’audace, la démesure et la rigueur qui font la signature de l’esprit Dior.
Je voulais passer de l’aura de J’adore à l’or de J’adore. A sa quintessence olfactive libérée du superflu. J’ai souhaité donner à la signature florale de J’adore des accents d’épure, contemporaines et universelles. Comme un nouvel éclairage sur J’adore, qui est un chef d’œuvre impressionniste, composé d’une myriade de touches florales kaléidoscopiques. S’emparer de ce foisonnement quasi pictural m’a demandé de plonger dans sa formule tête la première, d’en brasser la richesse pour en retenir l’essentiel: une rose charnue et un jasmin puissant. J’ai donc résumé et circonscrit ce bouquet dense avec la volonté de trouver une nouvelle harmonie, un équilibre renouvelé de ses proportions.

Je lui ai aussi donné de nouvelles couleurs plus rondes et plus suaves, en soulignant les roses et les blancs, en surlignant les fleurs solaires.Sa formule s’en trouve comme resserrée. J’ai, en quelque sorte, forcé le trait du contour des fleurs pour faire saillir toutes leurs nuances et définir ainsi une nouvelle texture, pareille à un or fluide et enveloppant. Une sensualité nouvelle, immédiatement attractive. Un J’adore rond et attirant comme une épaule nue… La quintessence de J’adore se trouve aujourd’hui là. L’Or de J’adore revient à l’essentiel, exalte la beauté de fleurs portées dans un concentré suave et solaire. L’or de J’adore, ce sont ses fleurs. » Francis Kurkdjian, Directeur de la Création Parfum

 

 

 

 

REFLETS D’OR DANS UNE AMPHORE

Tout en courbes et rondeurs la silhouette mythique de l’amphore de J’adore accueille avec sensualité la nouvelle composition de Francis Kurkdjian. Pour L’Or de J’adore, le flacon icône se réinvente en se parant de matériaux précieux. Le collier change, en écho à la chaleur du sillage, et se mue en un or fluide et organique qui ondule et épouse le verre. Adouci, le sourire de verre joue une nouvelle rondeur en harmonie avec les fleurs suaves du bouquet.Touche finale en apesanteur, la perle désormais en verre se pose sur la coiffe, aérienne et limpide.

 

UN ÉCRIN PRÉCIEUX CONÇU POUR DURER

Encore plus luxueuse, l’amphore de L’Or de J’adore a été conçue comme un flacon précieux que l’on s’approprie pour mieux le garder près de soi.
Conçue pour durer, sa coiffe dotée de matériaux nobles devient un véritable talisman que l’on conserve au fil du temps pour accueillir de nouvelles « gouttes de parfum ». Minimaliste, dédié uniquement au parfum, le corps en verre de l’amphore de L’Or de J’adore sera disponible en recharge dès mars 2024.

 

LA CAMPAGNE L’OR DE J’ADORE, UN OR POUR SOI

Dans un halo de lumière chaude, d’or vivant et de blondeur solaire, Charlize Theron irradie de féminité. Sereine et conquérante à la fois, elle tient lovée contre elle l’amphore mythique parée d’un or nouveau, fluide et organique. Resplendissante de beauté, elle incarne avec force et de luminosité l’âme de J’adore. Elle por te une robe en crêpe de soie aux reflets ondoyants, moirés et dorés, dessinée exclusivement pour elle par Maria Grazia Chiuri dont l’élégance épurée révèle la sensualité de sa peau dorée, nue, sans apprêt ni bijoux. L’or est pourtant là, précieux, contenu tout entier dans son parfum. Une ode à une féminité triomphante, puissante et apaisée.

 

J’ADORE X JEAN-MICHEL OTHONIEL

 

 

Né en 1964 à Saint-Etienne, France, Jean-Michel Othoniel a, depuis la fin des années 1980, inventé un univers aux contours multiples. Ses œuvres sont conservées dans les plus grands musées d’art contemporain, fondations et collections privées du monde.
Ses œuvres prennent aujourd’hui une dimension architecturale et rencontrent volontiers des jardins ou des sites historiques à travers des commandes publiques ou privées dans le monde entier. Privilégiant les matériaux aux propriétés poétiques et sensibles, Jean-Michel Othoniel travaille la cire, le soufre, puis le verre qui devient sa signature. La délicatesse du verre et la subtilité de ses couleurs participent du vaste projet de l’artiste : poétiser et ré enchanter le monde.

En 2021, le Petit Palais invite Othoniel à investir le jardin et les salles des collections permanentes afin de présenter une exposition jouant avec l’architecture du lieu. Avec « Le Théorème de Narcisse », l’ar tiste offre un parcours d’émerveillement au visiteur. Dans la continuité de cette exposition, Jean-Michel Othoniel poursuit son travail dans les jardins avec « Treasure Gardens » au SeMA et dans les jardins du Palais Imperial à Seoul. Il est installé officiellement depuis 2021 à l’Académie des beaux-arts de France. En 2023, Jean-Michel Othoniel va révéler une nouvelle série de grandes sculptures dans le jardin botanique de Brooklyn, pour une grande exposition d’été.

GOLD ROSE: UNE ŒUVRE ÉDITÉE EN SÉRIE LIMITÉE

Précieuse et légère, l’amphore de J’adore semble s’être posée en équilibre au cœur d’une fleur déployée, véritable écrin de perles d’or étincelant. L’œuvre, symbiotique et hypnotique, orchestre le nouveau dialogue artistique de Jean-Michel Othoniel avec J’adore. L’univers du célèbre artiste français vient se mêler dans une harmonie évidente à celui du parfum de légende en y croisant leur passion commune pour les fleurs comme la célébration d’un or enchanteur et vivant. Inspiré par les courbes de verre de l’amphore iconique, Jean- Michel Othoniel a imaginé une fleur-écrin rare pour accueillir le sillage de « L’Or de J’adore », la première composition de J’adore signée par Francis Kurkdjian. Une véritable œuvre d’art, une rose à l’infini éditée en série limitée que l’on peut, comble du luxe, inviter chez soi pour la contempler.

UNE ROSE DE BRONZE ET D’OR…

Aérienne, la rose-écrin imaginée par Jean-Michel Othoniel est une merveilleuse œuvre d’art miniature signée et numérotée. Empreinte de toute la magie des sculptures monumentales de l’artiste, elle est un écho parfait à la composition de Francis Kurkdjian, les perles de ses pétales dessinent une fleur hyperbolique, jaillissante et ciselée. Mais le chemin est long avant qu’elle ne surgisse, parée de bronze et d’or.Tout commence pour l’artiste par la contemplation d’une « vraie » rose dont il fait une aquarelle, de ce dessin mis en espace il fait une première maquette en trois dimensions. Ce modèle est ensuite confié aux fondeurs qui œuvrent selon la technique traditionnelle de la fonte à la cire perdue. Les perles de ce véritable joyau de précision réalisé en bronze, sont polies à la main une à une, avant d’être plongées dans un bain d’or.

… POUR UNE AMPHORE EN APESANTEUR

Posée avec délicatesse dans cette fleur de bronze et d’or, l’amphore de cristal imaginée par Jean-Michel Othoniel offre une silhouette en 8 parfaite d’équilibre aérien, soulignant l’harmonie douce de la ligne du New Look créée par Christian Dior. L’or de sa coiffe vivant et fluide enlace la perle comme posée en apesanteur, puis ondule en drapant les courbes en cristal du flacon. Surprenant, son fond de verre est plein et arrondi, rendant impossible l’équilibre du flacon sans la fleur qui l’accueille. L’incarnation, en somme, d’une symbiose parfaite entre une amphore précieuse au col ciselé et son écrin sculpté comme un calice.

Une malle blanche conçue à l’image des boîtes de transport d’œuvres d’art et réalisée à l’échelle de cette création, protège l’amphore et sa fleur jusqu’à son lieu d’exposition final. L’Or de J’adore par Jean-Michel Othoniel : Une œuvre en bronze doré 24 carat et cristal sur demande dans une sélection de boutiques Dior.

 

JEAN-MICHEL OTHONIEL ET J’ADORE

QUEL EST VOTRE APPROCHE DE L’UNIVERS DE J’ADORE ?
Mon univers créatif rencontre dans ce beau projet celui de J’adore avec évidence. Le merveilleux du quotidien, la contemplation des fleurs et la jouissance du parfum sont autant de sources d’inspiration qui nous unissent et qui me mènent à l’abstraction de la forme.

QUELLE A ÉTÉ VOTRE INSPIRATION POUR LA FLEUR COMME POUR L’AMPHORE ?
Pour cette œuvre, j’ai observé attentivement la composition et l’architecture d’une rose, une fleur que j’aime tout particulièrement. Puis, j’ai fait serpenter les perles autour du flacon dans un mouvement de danse et d’énergie vitale. J’ai imaginé ensuite que l’or venait habiller l’amphore comme une étoffe précieuse tout en se posant sur la perle comme un pétale délicat. La perle de l’amphore se fait littéralement bouton de rose en apesanteur. Enfin, j’ai voulu que le fond de verre du flacon ne soit pas stable pour que le flacon soit toujours gardé dans la main, manipulé à l’envi, comme un talisman que l’on s’approprie.

QU’APPRÉCIEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT DANS CE PROJET SINGULIER ?
Je suis particulièrement touché par le fait que cette œuvre nouvelle sorte de l’univers des musées et des galeries pour toucher le quotidien d’un plus grand nombre. C’est la puissance de J’adore que de m’avoir donné l’occasion de créer une œuvre multiple, belle et signifiante, intime et sensuelle comme l’est le parfum.

CETTE ŒUVRE VA-T-ELLE ÉVOLUER VERS D’AUTRES DIMENSIONS ET VOUS INSPIRER UNE PIÈCE DE MUSÉE ?
« Gold Rose » va devenir une sculpture monumentale pour ma grande exposition au Brooklyn Botanic Garden. Cette transformation va se dérouler dans le cadre des Jardins Culturels Dior qui sont autant d’invitations à sortir de chez soi pour se plonger dans le réel et la nature.

 

 

J’ADORE X REFIK ANADOL

 

 

Natif d’Istanbul, Refik Anadol a étudié aux Etats-Unis et vit désormais à Los Angeles où il dirige son studio de création entouré d’une équipe pluridisciplinaire (designers, architectes, neuroscientifiques) et de chercheurs pour créer des installations protéiformes – sculptures 3D, fresques de données mouvantes et abstraites, performances audiovisuelles. Fasciné par la mémoire et le potentiel créatif des machines, il a créé des œuvres hypnotiques qui sont exposées dans les plus grands musées du monde. Consacré au MoMA en 2022, la commande « Unsupervised » signe l’entrée officielle de l’IA dans l’élite de l’art contemporain. Éclectique, il a également créé le décor de la cérémonie des Grammy Awards, les murs du Forum économique mondial de Davos ou encore transfiguré la façade de la célèbre Casa Batlló de Gaudi à Barcelone.

 

UN RÊVE D’OR ET DE FLEURS L’OR DE J’ADORE INSPIRE UNE ŒUVRE DIGITALE

Artiste digital de renom récemment consacré au MoMA de New-York, Refik Anadol s’est plongé dans L’Or de J’adore. De sa rencontre avec Francis Kurkdjian, créateur du précieux sillage, il a tiré une œuvre visuelle hypnotique, un or virtuel et vivant littéralement réinventé par l’intelligence artificielle. Perpétuant les rendez-vous qui unissent depuis toujours la maison Dior aux artistes, les algorithmes de Refik métamorphosent l’Or de J’adore…

La rencontre ne pouvait qu’être détonante entre le directeur de la création Parfums de Dior et un artiste qui aime explorer « les relations entre la mémoire et les rêves, la reconnaissance et la perception ». Persuadé que la beauté peut naître de la data, Refik Anadol transforme, grâce à l’intelligence artificielle, le monde sensible en peintures et en sculptures. Pour Dior, il s’est emparé de l’univers de J’adore avec enthousiasme et inspiration en poursuivant sa quête esthétique aussi saisissante que poétique.

Dans les pas de Francis Kurkdjian, il s’est ainsi attaché à trouver un nouveau langage pour relever le défi d’incarner un sillage de légende, de rendre « visible l’invisible » de l’Or de J’adore. Avec pour but ultime de transformer la magie florale de J’adore en une image qui soit aussi sensorielle, attractive et addictive que sa signature olfactive.

Son cheminement s’est situé, à l’instar du parfumeur, entre audace et tradition : il a choisi de métamorphoser la formule de l’Or de J’adore : « Je représente toujours les données sous forme de molécules, ce qui se trouve être également l’écriture fondamentale d’un parfum, puis je les transforme en une sculpture ». Les molécules et les chiffres de la composition de J’adore ont ainsi été passées au crible d’algorithmes savants pour donner naissance à une vague d’or liquide, souple et saisissante de beauté.

Infini, cet or fluide mouvant et vivant fait écho aux courbes de l’amphore et exprime la quintessence de J’adore en repoussant les limites de l’art visuel. Métamorphosé, le bouquet floral de J’adore se transmue en une expérience sensorielle abstraite, unique et poétique.
L’Or de J’adore offre sa concentration spectaculaire, sa rondeur radieuse et laisse un sillage ample et noble.