Dior – Maison du Groupe LVMH et partenaire premium de Paris 2024 – a contribué à la magie extraordinaire de la Cérémonie d’Ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024

par | Jul 27, 2024 | EVENEMENTS, NEWS

Perpétuant les affinités privilégiées, sans cesse réinventées, qui l’unissent depuis sa fondation à l’univers du sport, Dior – Maison du Groupe LVMH et partenaire premium de Paris 2024 – a contribué à la magie extraordinaire de la Cérémonie d’Ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024.

Cette célébration unique – orchestrée par le Directeur Artistique et metteur en scène Thomas Jolly – se racontait au gré de douze tableaux oniriques magnifiant le cœur de la Ville lumière. Une partition collective que Dior a accompagnée et sublimée lors de cinq de ces prodigieux temps forts, chacun d’eux mettant à l’honneur les femmes et la puissance féminine en faisant rayonner l’empowerment, la liberté et l’affirmation de soi – autant de valeurs chères à la Maison et à la Directrice Artistique, Maria Grazia Chiuri*. Pour créer cette féerie, les ateliers du 30 Montaigne ont ainsi passé plusieurs milliers d’heures à broder, perle après perle, à coudre et à monter, avec une infinie minutie, ces architectures du rêve que sont chacune des silhouettes Dior qui ont enchanté cet événement sans précédent. De somptueuses pièces haute couture, fusionnant virtuosité et innovation, une fascinante rencontre des arts et des artisanats français dans toute leur quintessence.

Cette performance sportive en soi (!) – une formidable énergie collaborative emblématique des savoir-faire de Dior – a ainsi donné vie aux fabuleuses tenues portées par les immenses artistes – mais aussi par leurs musiciens et danseurs et par plus d’une soixantaine de choristes… – lors de cette soirée intensément mémorable.

 

 

À l’instar de l’incroyable tableau inaugural mené par Lady Gaga, vêtue de Dior – tout comme ses dix danseurs –, qui interprétait l’iconique Mon truc en plumes, en hommage à Zizi Jeanmaire et à la chorégraphie culte de Roland Petit – pour lequel Christian Dior avait déjà imaginé des costumes de ballet. Une ode contemporaine à l’esprit du cabaret français et au dialogue des arts que n’a cessé de tisser la maison Dior depuis ses débuts au cœur de Paris, en 1946.

 

 

Lors d’un autre récit captivant, Aya Nakamura – aux côtés de ses six danseuses – était magnifiée par l’éclat de l’or, couleur iconique de Dior. Pour cette réalisation hors du commun, des milliers de plumes ont été posées très méticuleusement une à une à la main, telle une seconde peau.

Autre apparition fulgurante : interprétant La Marseillaise sur le toit du Grand Palais, Axelle Saint-Cirel arborait une robe superbement spectaculaire de plus de 8 mètres de long, incarnant toute la maîtrise du drapé, infiniment virtuose, propre à la maison Dior (la robe partant du drapeau et le drapeau devenant robe). Pour ce show magistral, elle était accompagnée – depuis le pont Alexandre-III –, d’un envoûtant chœur de femmes, toutes habillées de péplums réinventés également par Maria Grazia Chiuri. Tel un hymne à la sororité, les choristes portaient un drapeau revisitant l’œuvre Freedom Woman Now, conçue en 1971 par l’artiste afro-américaine Faith Ringgold (1930-2024), figure historique de l’engagement féministe – qui, avant de nous quitter en avril, a collaboré avec Dior lors de plusieurs événements d’exception – ; un symbole fort enrichi des mots « Femme », « Liberté » et « 2024 ».

Juliette Armanet était vêtue quant à elle d’une tenue Dior – repoussant les limites des techniques contemporaines – réalisée en collaboration avec la talentueuse brodeuse Clara Daguin.  Elle interprétait, depuis un bateau, Imagine, de John Lennon, ode à la paix plus que jamais essentielle, universelle. Grâce à un ingénieux système de programmation, la lumière des broderies s’activait au rythme de la chanson, savoir-faire signature de Clara Daguin, qui a noué avec les ateliers Dior un dialogue fascinant pour élaborer cette création-surprise, performative.

Star mondiale, Céline Dion offrait un final purement grandiose au premier étage de la tour Eiffel, sublimée d’une création éblouissante aux milliers de perles et ornée de plus de 500 mètres de franges. Une œuvre en soi, traduisant l’inestimable savoir-faire de broderie de la maison Dior, et qui semblait s’animer, vibrer poétiquement au rythme de l’incroyable performance de la chanteuse.

Certaines de ces créations merveilleuses, reflets de l’excellence des Ateliers de la Maison, se dévoileront en exclusivité au cœur de La Galerie Dior, à partir du 31 juillet 2024.

Une ode magique au royaume des rêves qu’incarne la haute couture Dior, faisant rayonner la rencontre passionnée des arts et du sport. Au nom de la liberté des femmes.