Le restaurant gastronomique Jean Imbert au Plaza Athénée a ouvert ses portes le mercredi 5 janvier 2022. C’est seulement 9 semaines après son ouverture, que le restaurant reçoit, le 22 mars 2022, sa première étoile au Guide Michelin.
À quelques encablures de la Tour Eiffel et des Champs Élysées, dans le palace centenaire, témoin vivant d’un Paris rêvé et intemporel, Jean Imbert a souhaité renouer avec le faste de l’art culinaire français, inspiré du répertoire classique – et de ces recettes qui ont fait les grandes heures de la gastronomie à travers le monde.
À la carte du Restaurant Jean Imbert au Plaza Athénée, chaque plat fait référence à une recette iconique du patrimoine. Les énoncés historiques sont restés inchangés pour permettre aux convives de laisser place à leur imagination… et d’être ainsi transportés dans l’expérience à venir. L’ambiance se matérialise en salle, à mesure que la chorégraphie des maîtres d’hôtels, coordonnée par Denis Courtiade, Directeur du Restaurant, se déploie dans une délicate harmonie.
Honneur est alors rendu, par exemple, à la « Langouste en Bellevue »,accompagnée d’une macédoine de légumes, qui arrive majestueusement en salle tout en arborant, sur son dos, une cascade de médaillons traités en gelée; ou au potage « façon Du Barry », marié à de petits coquillages de Bretagne en civet. Place est faite au « Veau Orloff », au bouillon en « Demi Deuil », au « Canard à la Bigarade » (un hommage à la version originelle du canard à l’orange, recouvert d’agrumes avant d’être rôti). Le« Vol-au-Vent » quant à lui est généreux et décadent. Il est accompagné de trois sauces gourmandes, servies en salle, qui viennent traverser le feuilletage au Sarrasin et napper les nombreuses garnitures. Enfin le « Turbot soufflé », est cuit entier après avoir été désarêté et soufflé au cresson en son cœur puis découpé en salle.
Fin du dîner : le service des desserts – Au son de la cloche du Directeur du restaurant, les lumières se tamisent, une vitre s’entrouvre et découvre un atelier dans lequel les pâtissiers peaufinent, en temps réel, les créations du jour. Au programme, une sélection de recettes sucrées traditionnelles qui ont fait la gloire de la pâtisserie française: « L’ambassadeur »,décoré minute à la main avec des pétales de roses, le « Fontainebleau » au lait d’Île-de-France, la « Crêpe Soufflée à la Clémentine », flambée en salle au Grand Marnier, ou encore le « Puit d’amour », marqués au fer rouge à l’ultime moment.
De l’entrée au dessert, chaque plat peut être accompagné d’un vin ou Champagne, sélectionné par notre Maître Sommelier. Il conseille des accords sur-mesure selon le goût des invités et les recettes dégustées, et choisira les meilleurs crus issus de l’impressionnante cave de l’hôtel, riche de plus de 40 000 flacons d’exception.
Pour réaliser ces créations, Jean Imbert et ses équipes ont minutieusement choisi leurs ingrédients. Le Chef s’est entouré de producteurs et artisans français, aux talents indéniables, qui lui sélectionnent les plus beaux produits.
Jean Imbert est épaulé par Denis Courtiade et son équipe de salle, une brigade de cuisine dirigée par Jocelyn Herland et Mathieu Emeraud et la pâtisserie est orchestrée par Angelo Musa et Elisabeth Hot. « C’est une grande fierté d’être entouré d’une équipe si riche de talents et d’expériences, leur accueil et leur confiance depuis mon arrivée au Plaza Athénée m’ont beaucoup touché »
Pour la scénographie et la décoration du restaurant, le Chef a fait appel à Rémi Tessier, architecte d’intérieur et designer de renommée internationale. Ensemble, ils ont fédéré une équipe d’artisans d’art, dans la pure tradition française, comme par exemple les ateliers Meriguet, pour faire éclore et mettre en lumière les différents éléments du décor qui contribuent à l’atmosphère intemporelle du restaurant.
Ainsi, le lieu d’origine dont le style classique a été préservé, a été agrémenté de feuilles d’or, pour mettre en valeur les détails des boiseries, des colonnes, la finesse des moulures et des dômes du plafond. L’argenterie, chinée par le designer et le Chef, plusieurs mois avant l’ouverture, est d’époque. Les plats de service, comme les turbotières ou braisières sont en cuivre martelé à la main et la vaisselle de Limoges, aux motifs anciens, a été spécialement reconstituée pour le restaurant.
De fidèles partenaires aux côtés de Jean Imbert
Il était important pour Jean Imbert de s’entourer de ses partenaires dont il est proche depuis plusieurs années.
Pour l’art de la table, il s’est entouré de maisons de prestige pour donner vie à sa vision des tables élégantes d’autrefois. Un travail minutieux a été réalisé par Bernardaud en collaboration avec le Chef, notamment pour les assiettes en porcelaine, sur lesquelles les artisans de la maison ont reproduit des motifs anciens, spécialement pour le lieu. La verrerie et les carafes sont signées Baccarat. Leurs couleurs et les volumes donnent un relief élégant aux tables du restaurant. Les couverts proviennent de la collection Marly de l’orfèvre parisien Christofle et sont l’illustration même du raffinement d’une table « à la française ». L’argenterie, chinée par le designer et le Chef, plusieurs mois avant l’ouverture, est d’époque.
En cuivre martelé à la main, les plats de services comme les turbotières et les braisières, de la maison Mauviel sont quant à eux parfaitement adaptés à la présentation des différents mets.
Les torréfacteurs et créateurs, Nespresso, ont mis leur expertise au service du restaurant Jean Imbert au Plaza Athénée. Le café Paris Espresso, pensé comme un hommage à la Ville Lumière, où le café a toujours été un moment de plaisir unique, sera ainsi servi accompagné de mignardises en exclusivité mondiale quelques mois avant sa sortie.
Le beurre Bordier, avec qui Jean Imbert collabore depuis une vingtaine d’années, a également crée avec le Chef un beurre sur mesure au sarrasin.