Après les débuts de Pierpaolo Piccioli sur les podiums en tant que directeur artistique de Balenciaga, une nouvelle ère s’ouvre à travers des portraits fixes et animés.
Cette première campagne publicitaire BALENCIAGA, signée Pierpaolo Piccioli, présente une nouvelle femme pour Balenciaga, définie par sa force tranquille, sa sensibilité et sa maîtrise de soi. Capturée dans des moments de détente au bord des lits baignés de soleil, dans l’un des plus beaux hôtels particuliers de Paris, l’Hôtel de Maisons-Pozzo di Borgo, elle incarne une douce puissance, une élégance ancrée dans l’authenticité plutôt que dans l’artifice.
« Pour ma première campagne pour la Maison, je souhaitais créer quelque chose de véritablement personnel, capable de raconter une histoire de beauté naturelle et d’humanité délicate. Travailler avec mon cher ami et artiste, David Sims, a rendu l’expérience encore plus spéciale. Ensemble, nous avons capturé Mona et Sandra telles qu’elles sont – spontanées, authentiques, douces et pourtant fortes –, reflet de la nouvelle femme Balenciaga et le début d’un chapitre qui me tient profondément à cœur », a déclaré Pierpaolo Piccioli.
Les mannequins Mona Tougaard et Sandra Murray réinterprètent la modernité à travers le prisme de l’humanité. Les silhouettes de Piccioli – fluides et pourtant architecturales, intimes et pourtant imposantes – expriment une féminité renouvelée : moderne, facile à porter et profondément Balenciaga. Sur fond de la grandeur de l’architecture Grand Siècle du XVIIIe siècle, ces instants de calme naturel redéfinissent la force aujourd’hui.
Au cœur de la campagne, deux emblèmes intemporels de la Maison : les sacs Rodeo et Le City. Symboles de la double identité de Balenciaga – utilité naturelle et allure raffinée –, ils sont plus que de simples accessoires ; ce sont les codes vivants de l’évolution de la marque. Le Rodeo reflète un esprit urbain décontracté et individualiste, tandis que Le City s’impose comme une expression intemporelle de l’artisanat, de l’attitude et de la pertinence culturelle.
La campagne capture une tension organique entre jeunesse et austérité, sophistication et spontanéité – un portrait lumineux de la conviction de Piccioli que la beauté est une émotion.